Des sanctuaires vides au Cambodge, des maisons abandonnées en Malaisie, des pierres tombales gravées enfouies sous la mousse : même en arpentant les villes les plus peuplées du monde, comme Bangkok, ma photographie demeure vide. Pas un être humain en vue, seulement les âmes de ce qui n’est plus, de ce qui fut, de ce qui aurait pu être — mais ne sera jamais.